En bref
- Des chercheurs de l’université de la Rochelle s’intéressent aux vertus biocalcifiantes de bactéries marines, qui, couplées à un procédé électrochimique, pourraient consolider les ouvrages anti-érosion.
- Dans leur laboratoire, des « biobriques » sont mises au point en un mois environ et des tests en milieu naturel sont envisagés d’ici deux à cinq ans, en fonction des financements alloués à ce projet.
- L’idée est de venir consolider la base des ouvrages comme les digues, mis à mal par le processus d’affouillement.