En bref
83% des mis en cause par la justice sont des hommes. Une surreprésentation qui n’a rien d’inné, mais qui découle d’une éducation marquée par les injonctions à la virilité. Et si, pour réduire cette violence et dessiner une société plus égalitaire, il suffisait de repenser l’éducation des garçons ? C’est ce que prône l’historienne spécialiste des droits des femmes Lucile Peytavin.