En bref
En plus d’être vécu comme anxiogène par beaucoup, ce monde à pleine vitesse va à contre-courant de la nécessité d’affronter l’urgence climatique et de protéger l’environnement. Le slow tourisme, comme concept et surtout comme pratique, cherche la réponse à ces défis en se positionnant à la croisée du bien-être humain et de celui de la planète. Issu de la grande famille du « sustainable tourism », le slow tourisme s’oppose frontalement au tourisme de masse, refusant de cocher les lieux « incontournables » à un rythme effréné pour privilégier des expériences moins nombreuses, certes, mais plus authentiques.