En bref
Saliou Ndao s’est lancé il y a vingt ans dans le business juteux de l’élevage des « ladoums », une race de moutons de luxe très prisée pour sa taille et sa beauté par les riches Sénégalais. À l’approche de la « Tabaski » (l’Aïd el-Kébir, dimanche 16 juin), la grande fête des musulmans lors de laquelle chaque famille abat un mouton, leur prix peut grimper jusqu’à 68 000 euros au Sénégal. Reportage à Dakar.