En bref
Si votre organisation se tient un peu à la page, il est probable que sa feuille de route en matière de responsabilité sociétale des entreprises (RSE) inclue un objectif de régénération, à l’instar de Volkswagen et de sa stratégie regenerate+ ou du groupe de luxe français Kering, comprenant des maisons comme Gucci, Saint Laurent, Balenciaga…
Au-delà des déclarations d’intention de ces deux entreprises et de bien d’autres, vous avez peut-être du mal à conceptualiser dans quelle mesure un SUV ou un sac en cuir de crocodile peut être régénérateur. Pour défricher le terrain, une équipe de chercheurs de l’université de Maastricht a publié un article dans « Sustainable Production and Consumption », définissant ce qui constitue l’entreprise régénératrice et ce qui la distingue de l’entreprise circulaire ou durable.