Pas d’eau, des graines plus dures, des becs plus épais, des chants moins virtuoses : une équipe américaine a montré comment l’environnement pouvait conditionner l’évolution de ces petits passereaux.
Nous utilisons des cookies pour vous garantir la meilleure expérience sur notre site web. Si vous continuez à utiliser ce site, nous supposerons que vous en êtes satisfait.OK