Découvrir de nouvelles espèces grâce à l’ADN qu’elles laissent derrière elles

En bref

Mieux appréhender l’étendue de la biodiversité marine devient un enjeu considérable à la fois pour la connaissance du vivant et de son évolution, et pour la conservation et la mise en place de suivis et de mesure de conservation et de minimisation des impacts environnementaux. C’est dans ce contexte que l’Ifremer a engagé le projet « Pourquoi Pas les Abysses », qui a été suivi du projet France Génomique « eDNAbyss » : les deux reposent sur l’utilisation de ce qu’on appelle l’« ADN environnemental », ou ADNe.